@misc{rollins_2011, title={Attila, the novel: Flaubert and the origins of literary modernity}, volume={85}, number={1}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2011}, pages={166–167} } @misc{rollins_2010, title={Flaubertin genesis}, volume={83}, number={5}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2010}, pages={1080–1081} } @misc{rollins_2009, title={Flaubert: A biography}, volume={82}, number={6}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2009}, pages={1321–1322} } @misc{rollins_2009, title={Madeleine}, volume={82}, number={6}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2009}, pages={1371–1372} } @misc{rollins_2008, title={'Pantheon'}, volume={81}, number={5}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2008}, pages={1037–1038} } @article{rollins_2007, title={A minute, a second, a quarter of a second: photographic vision in La 'Bete Humaine' by Emile Zola}, DOI={10.3917/rom.135.0087}, abstractNote={L’importance du regard dans les crimes de la Bete Humaine est indeniable – voir sa proie, voir un crime s’accomplir, voir ou ne pas voir un obstacle sur la voie, ne pas etre vu pour eviter d’etre tue ou pour echapper a la justice – toute l’action du roman derive de visions fulgurantes et furtives. La vision d’un crime dans un train sert de declencheur et reveille l’instinct meurtrier. L’eclair dans lequel passe les trains evoque celui des appareils photographiques qui eblouissaient Zola et ses contemporains au moment de la prise de vue. Eclatant en moins d’une minute, une seconde ou meme un quart de seconde, cet eclair terrifiant saisit l’instant, immobilisant pour l’eternite une vue qui devient une vision du monde depassant le reel du quotidien ou l’œil du photographe epouse le Sujet pour l’eternite, le tuant ainsi symboliquement.}, number={135}, journal={Romantisme}, author={Rollins, Y. B.}, year={2007}, pages={87-} } @misc{rollins_2007, title={Aesthetics of derision in novels of the realistic period in France (1850-1879): genesis, flowering and sense of grotesqueness.}, volume={80}, number={5}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2007}, pages={1128–1129} } @misc{rollins_2007, title={Bovaryism following a study by Per Buvik, the first bovary}, volume={36}, DOI={10.1353/ncf.2007.0088}, abstractNote={Reviewed by: Le Bovarysme suivi d’une étude de Per Buvik, Le principe bovaryque Yvonne Bargues Rollins Gaultier, Jules de . Le Bovarysme suivi d’une étude de Per Buvik, Le principe bovaryque. Paris: Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2006. Pp. 338. ISBN 2-84050-424-3. Enfin une réédition de cet ouvrage, sous-titré "Essai sur le pouvoir d'imaginer" (1902), à distinguer de celui sous-titré: "La Psychologie dans l'œuvre de Flaubert" (1892). Le mot "bovarysme" attire l'attention sur Flaubert le romancier tandis qu'il s'agit plu tôt de philosophie. Après avoir établi une biographie critique de Gaultier, Buvik confronte ce "principe" aux idées de plusieurs penseurs du 19ème et du 20ème siècles. La première partie du livre, "Pathologie du Bovarysme," passe rapidement des personnages de Flaubert à des considérations générales sur le "Bovarysme" des individus et des collectivités pour aboutir à celui de l'humanité et de l'existence. Vu comme une tare chez Flaubert, le Bovarysme – "pouvoir départi à l'homme de se concevoir autre qu'il n'est" (9) – devient, chez Gaultier, source de progrès pour l'humanité. En d'autres circonstances, Mme Bovary aurait pu être une mystique ou une artiste. Gaultier insiste sur le déterminisme psychologique de l'hérédité qui empêcherait l'homme de sortir de son milieu et l'inciterait à se voir autre qu'il n'est. Etudiant le Bovarysme de la collectivité Jules souligne, par exemple, que la mentalité française anticléricale a été influencée, dès le 18ème siècle, par la "religion humanitaire" de la nation anglaise. De là, il dérive à une démonstration nationaliste contre l'immigration et la diaspora juive, rejetant "l'idée cosmopolite" (69). Enfin, la nouvelle "religion du progrès par la science" est un mirage car le "propre de l'homme est une faculté de mécontentement" (94). La deuxième partie est centrée sur un "Bovarysme de la vérité." Il semblerait que le Bovarysme est "la loi même et la condition de la vie phénomènale" (101). À la "Pathologie du Bovarysme" Jules ajoute un "aspect de santé," en contrepoint, car "devenir autre est la loi de la vie" (105). [End Page 168] Dans sa troisième partie, Gaultier avoue que sa vision du Bovarysme l'entraîne à "modifier quelque peu le sens que comporte le mot dans l'œuvre de Flaubert" (108). En effet, un être peut, avec bénéfice, se concevoir différent de lui-même mais il faut que la faculté de changer ait été cultivée depuis l'enfance. Evoquant les principes de l'évolution biologique, il tire des parallèles avec la société. Il démontre, par exemple, les bienfaits du colonialisme à l'époque romaine car les Barbares étaient des groupes de formation récente. La quatrième partie est intitulée "Le Réel." Jules présente un condensé des philosophies positiviste et phénoménologique. Dans l'absence de vérité objective, la réalité devient un compromis entre l'objet et le sujet et la "loi Bovaryque" gouverne l'existence du réel. En fait, le progrès scientifique est bâti sur des erreurs, des illusions, et c'est l'utilité qui crée de nouvelles réalités. À partir d'exemples historiques, Jules conclut à la relativité des croyances en montrant comment elles s'expliquent par leur utilité – qui varie avec le temps et le lieu. Dans son essai, Buvik fait l'inventaire des différent points de vue sur le bovarysme. Il étudie comment cette "notion philosophique" est comprise par les penseurs de l'époque de Gaultier. Rapprochant Gaultier de Nietzsche, Buvik souligne les divergences entre eux afin de disculper Jules de l'accusation de fascime. De même pour Maurras: le "racialisme" de Gaultier ne serait pas le "racisme" de Maurras (240). Georges Palante, lui, rattache au bovarysme une loi d'"ironie universelle" tandis que, pour Ernest Gallico, la métaphysique du bovarysme débouche sur une "exaltation du spectacle du monde libéré de son fondement spirituel et moral" (259). Rémy de...}, number={1-2}, journal={Nineteenth-Century French Studies}, author={Rollins, Y. B.}, year={2007}, pages={168–170} } @misc{rollins_2007, title={Le ' voleur'.}, volume={80}, number={6}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2007}, pages={1376–1377} } @misc{rollins_2007, title={Les 'rosiers de la rue Vermenouze'}, volume={81}, number={2}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2007}, pages={416–417} } @misc{rollins_2006, title={Flaubert: voice of mask.}, volume={80}, number={2}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2006}, pages={462–463} } @misc{rollins_2004, title={Producing the descriptive: exogenesis and endogenesis of L' 'Education Sentimentale'}, volume={77}, number={6}, journal={French Review}, author={Rollins, Y. B.}, year={2004}, pages={1238–1239} } @article{rollins_2001, title={Le Ventre de Paris by Emile Zola: Someone died in the kitchen}, volume={30}, number={1-2}, journal={Nineteenth-Century French Studies}, author={Rollins, Y. B.}, year={2001}, pages={92–106} } @misc{rollins_1999, title={Birth and metamorphoses of a writer: Flaubert and Les 'Tentations de saint Antoine'}, volume={28}, number={1-2}, journal={Nineteenth-Century French Studies}, author={Rollins, Y. B.}, year={1999}, pages={179–182} } @misc{rollins_1998, title={Art and infinity: the early works of Gustave Flaubert (French), by T. Unwin}, volume={26}, number={3-4}, journal={Nineteenth-Century French Studies}, author={Rollins, Y. B.}, year={1998}, pages={458–460} } @misc{rollins_1998, title={Art et infini: L'oeuvre de jeunesse de Gustave Flaubert, by Timothy Unwin}, volume={26}, number={1998 Spring/Summer}, journal={Nineteenth-Century French Studies}, author={Rollins, Y. B.}, year={1998}, pages={458–460} } @misc{bargues-rollins_1998, title={Correspondence, vol. IX (October 1897 September 1899)}, volume={45}, number={4}, journal={Romance Quarterly}, author={Bargues-Rollins, Y.}, year={1998}, pages={245–250} } @book{rollins_1998, title={Le pas de Flaubert: Une danse macabre}, ISBN={2852037882}, publisher={Paris: H. Champion; Gene`ve: Diffusion hors France, Editions Slatkine}, author={Rollins, Y. B.}, year={1998} } @misc{rollins_1998, title={Madame Bovary and realist oppression}, volume={27}, number={1-2}, journal={Nineteenth-Century French Studies}, author={Rollins, Y. B.}, year={1998}, pages={223–227} }